Le Maroc consolide son influence à l’Union Africaine face aux interrogations autour de la candidature algérienne
Le processus électoral pour la vice-Présidence de l’Union Africaine a mis en lumière, une fois de plus, les pratiques douteuses du régime algérien, prêt à tout pour s’assurer des positions diplomatiques, quitte à recourir à sa traditionnelle politique de corruption. Après six tours de scrutin serrés, marqués par des résultats souvent à égalité ou des écarts minimes de 2 à 4 voix, la mascarade orchestrée par Alger n’a échappé à personne.
Toutes les délégations présentes ont pu constater l’écart abyssal entre la candidate marocaine et ses concurrentes, notamment l’Algérienne. En termes de compétence, de vision stratégique et de qualité de présentation devant les Chefs d’État, la candidate marocaine s’est largement distinguée. Pourtant, cette supériorité qualitative n’a pas suffi à garantir son élection, soulevant ainsi des interrogations sur les influences et stratégies ayant pesé sur le scrutin.
L’élection de la candidate algérienne a également ravivé des soupçons de pratiques opaques. Certains observateurs s’interrogent sur le rôle qu’auraient pu jouer certaines « valises algériennes » pour compenser les lacunes de la candidate de ce pays. Face à l’absence de projet crédible et de leadership naturel, le régime algérien n’a eu d’autre choix que de recourir à ses vieilles méthodes de corruption pour imposer une candidate dépourvue de tout mérite.
Malgré ces manœuvres, le Maroc reste un acteur incontournable au sein de l’Union Africaine. FathallahSijilmassi, marocain, occupe toujours le poste stratégique de Directeur Général, numéro 3 de l’Organisation, confirmant ainsi la place centrale du Royaume dans la structure décisionnelle africaine.
En dépit des difficultés rencontrées lors du vote pour la Vice-Présidence, le Maroc et ses alliés ont réussi un autre coup de maître en faisant élire Ali Mahamoud Youssef à la tête de la Commission de l’Union Africaine. Originaire de Djibouti, un pays qui soutient fermement l’intégrité territoriale du Royaume et qui a ouvert un consulat à Dakhla, ce choix représente une victoire diplomatique pour le Maroc et ses alliés.
Ce nouvel épisode met en lumière l’obsession maladive du régime algérien pour une influence factice en Afrique. Incapable de convaincre par le talent, la vision ou l’expertise, Alger se réfugie derrière l’achat des votes et l’activation de ses réseaux clientélistes pour essayer d’exister sur la scène continentale. Mais cette stratégie est vouée à l’échec, car les États africains ne sont plus dupes des méthodes algériennes et savent distinguer les alliances sincères des manœuvres opportunistes.
L’avenir du continent repose sur des partenariats solides, des visions cohérentes et des projets concrets, à l’image de ceux portés par le Maroc sous la conduite éclairée de Sa Majesté le Roi Mohammed VI.