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Maroc: Amnesty International produit un rapport partial contre le Maroc

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L’Amnesty International s’est particulièrement illustré par une partialité flagrante tendant à soutenir aveuglément des ennemis de l’intégrité territoriale contribuer  largement à entamer la  crédibilité dans le domaine de défense des droits de l’Homme.

Cette attitude de cette organisation international traduit bien un manquement aux principes dont l’Amnesty International est la première à faire la promotion, et par conséquent, tout en optant la  politique de deux poids, deux mesures. La persistance de l’Amnesty International à travers de production  de rapport et de communiqués à charge contre le Maroc  montre incontestablement son hostilité ambiante contre l’intégrité territoriale et la politique de la promotion dans le domaine des droits de l’Homme.

Le 27 mai dernier, Amnesty International a publié un communiqué dans lequel elle appelle à une  »enquête sur des allégations selon lesquelles cinq militantes (Z.B., E.H., F.H., O.Kh. et N.B.), dans les provinces du Sud, auraient été victimes de violentes agressions physiques et sexuelles, suite à leur participation à des manifestations pacifiques en soutien à la militante dans les provinces du Sud S.Kh. et ce, lors d’incidents distincts survenus les 15 et 16 avril derniers à Boujdour dans le Sahara marocain, sans que les autorités n’ouvrent une enquête pour poursuivre les coupables ».

Ce qui est regrettable dans cette démarche de  cette organisation qui  n’a pas pris la peine de vérifier et de recouper les informations relatives à cette affaire et d’autres encore fournies et publiées de manière détaillée par le Conseil national des droits de l’Homme (CNDH), cela prouve à suffisance  que l’Amnesty International foule allègrement au pieds les principes d’impartialité, d’objectivité et de professionnalisme sur le registre des allégations autour d’éventuelles violations, alors que c’est elle-même qui est à l’origine de l’instauration desdits principes.

Quant aux allégations faisant état d’une soi-disant atteinte au droit de manifester et d’une agression des quatre femmes citées dans le communiqué de l’ONG, elles sont infondées, rapporte les autorités marocaines . Les responsables marocains ont pris leur responsabilité à Laâyoun, dans le respect de la loi, la tenue des manifestations et leur dispersion sans recours à la force, tout comme cela est en vigueur dans les autres villes du Royaume et dans le monde, et qui plus est, sous le regard du public.

Les  autorités publiques, en relation avec le contenu du communiqué d’Amnesty International et les allégations diffusées sur les réseaux sociaux, rappellent que le procureur général du Roi près la Cour d’appel de Laâyoune a pris spontanément l’initiative d’ouvrir une enquête. Cette démarche n’a pas été prise en ligne de compte par ladite organisation, dénigrant ainsi l’importance des enquêtes judiciaires alors qu’elle ne cesse dans ses communiqués d’appeler à leur ouverture un peu partout dans le monde.