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Afrique : le rôle néfaste des organisations internationales de droit de l’homme en Afrique

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L’Amnesty International (AI) et Human Rights Watch (HRW), qui jouent ces derniers temps des instruments de déstabilisation en collusion avec les ennemis de l’intérieur.

Plusieurs faits attestent ce rôle néfaste de ces deux prétendues organisations internationales de droit de l’homme qui ont un agenda vis-à-vis de pays de certains pays de l’Afrique. La démission, le 06.08.2022, de la responsable de l’Amnesty International (AI) en Ukraine suite à la publication par cette dernière, le 04.08.2022, d’un rapport reprochant à l’Ukraine ses tactiques de combat qui mettait en péril les populations civiles, qui offre déjà  une opportunité d’adopter une posture offensive contre les deux ONGs, Amnesty et HRW,dont l’anti-marocanisme primaire n’est plus à démontrer .

Les approches biaisées de l’Amnesty International (AI)  tout comme HRW d’ailleurs  dans le traitement des situations des droits de l’homme dans certains pays, dont le Maroc en particulier prouvent a suffisance qu’ils cherchent à nuire à la réputation de ce grand pays  qui s’est régulièrement illustré dans le respect de droit de l’homme. 

La démarche insidieuse de cette 5ème colonne vise à saper et à ringardiser les sentiments de patriotisme qui animent les Marocains vis-à-vis de leurs institutions sacrées. Les rapports de l’AMDH sont d’une virulence incroyable et personne ne s’offusque contre ces soi-disant Marocains qui deviennent une source de désinformation pour toutes les ONGs internationales en leur offrant systématiquement et à une échelle de fausses des informations pour le moins biaisées qu’ils utilisent pour salir l’image du Royaume à l’international.  

Les droits de l’homme, l’Occident, AI et HRW n’en ont cure, tant il s’agit d’un levier de pression sur les régimes qui refusent de courber l’échine lorsqu’ils aspirent à consolider leur souveraineté politique, économique et culturelle, en optant pour un multilatéralisme élargi.

 

 Par devoir de mémoire, Robert Bernstein, le fondateur de HRW, décédé en 2019, avait publié dans une tribune sur le New York Times qui restera gravée à jamais dans les annales de l’histoire, dans laquelle il fustigeait par des mots sans équivoque qui valent également pour AI, les dirigeants de Human Rights Watch pour avoir dévoyé la mission première qu’il avait imaginée pour l’organisation qu’il a dirigée pendant 20 ans, en la qualifiant de «morally bankrupt» (moralement corrompue).